Sur les chemins fleuris, La brise susurre des secrets. Elle effleure les visages. Les rêves s’éveillent sous les arbres centenaires.

Les ruisseaux murmurent, sages, Des histoires d’un monde ancien. Les pierres, témoins silencieux, Écoutent le flot des rivières.

Ainsi va le monde, Dans le ballet des saisons, Chantant l’harmonie fragile De cet existence qui nous étreint.

  • Gustave Flaubert