Le jardin
Dans une haie, le vent froisse Les roses, physiologique complice Tandis qu’un éclat va se fonder Aux cieux bleus, et me rendre épris.
- Paul Verlaine
Le jardin
Dans une haie, le vent froisse Les roses, physiologique complice Tandis qu’un éclat va se fonder Aux cieux bleus, et me rendre épris.