Quand l’aube se lève, lucide et claire, Les murs du jardin portent les roses, Les parfums s’élèvent en prière, Chaque pétale, un amour, une osmose.

Les rivières murmurent à l’oreille, Les cailloux dansent sous la brise, La Nature, joie sans pareille, Réveille l’homme de sa méprise.

  • Théophile Gautier