Ô nuit, douce complice des rêves,
Là où le monde s’apaise et s’achève.
Les étoiles, un à un, s’allument,
Et l’ombre des arbres seulement se fument.
Tes nuances, un parfum de mystère,
Enveloppent les vallées et les mers,
La nature se silence et se serre,
En toi, la beauté, dans sa lumière.
- Victor Hugo