Ode à la nature Chante, ô terre, dans tes mystères, Les reflets d’argent et d’azur, Les ombres suaves de ton sein.
Éveille le papillon, Et l’oiseau, aux douces heures, Vois le ruisseau s’émerveiller, Écoutant tes murmures, encore.
- Gérard de Nerval
Ode à la nature Chante, ô terre, dans tes mystères, Les reflets d’argent et d’azur, Les ombres suaves de ton sein.
Éveille le papillon, Et l’oiseau, aux douces heures, Vois le ruisseau s’émerveiller, Écoutant tes murmures, encore.