Terre et Horizons

À l’ombre des vieux pins et sous le ciel si clair, Là-bas, les montagnes, les lacs, les rivières, Des sylphides de l’ombre dansent sur les sentiers, Chantent la joie des bois et le souffle de l’air.

Fumée légère qui s’élève, crépuscule, Embrasant le monde des fleurs en une toile, Où s’enlacent au loin les chemins de lumière, Ambiance envoûtante au charme des merveilles.

Ô champignon des temps sous les nues argentées, L’immensité du ciel, la mer aux vagues bleues, Dans un silence vert, la beauté révélée, Évoque un cosmos où fleurit la poudreuse.

  • Gustave Flaubert