Sur la mer d’azur, les voiles s’inclinent, L’horizon s’adoucit, émir de l’espace. Les vagues resplendissent, fières de leur brise, Dans la pureté d’un jour, une grâce.

Les oiseaux s’envolent, au loin, dans la tempête, Free et légers s’élancent, unis par l’aventure. O gloire des cieux ! Je célèbre ta fête, Voyageur des nuages, élan de la nature.

  • Théodore de Banville